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Sortir du micro-management : comment adopter une posture de coach pour mieux diriger

Le micro-management reste l’un des pièges les plus répandus chez les managers, souvent animé par le souci du détail ou la peur de l’échec. Mais à long terme, cette posture étouffe l’autonomie, bride la créativité et freine la performance collective. La solution ? Passer du contrôle au coaching. Plus qu’un changement de méthode, c’est une transformation de posture. Voici pourquoi, et surtout comment, les dirigeants peuvent incarner ce rôle stratégique.

28 juillet
in Management & Leadership
Reading Time: 8 mins read
Sortir du micro-management : comment adopter une posture de coach pour mieux diriger l DRH.ma

Sortir du micro-management : comment adopter une posture de coach pour mieux diriger l DRH.ma

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Les leaders qui contrôlent chaque détail du travail de leurs équipes finissent par générer de la frustration, une démotivation rampante, et une dépendance contre-productive. À l’inverse, adopter une posture de coach revient à accompagner sans diriger, à questionner sans imposer, à faire émerger les solutions plutôt qu’à les livrer toutes faites. Cette approche est au cœur des organisations qui misent sur la responsabilisation et la performance durable.

Un bon coach n’est pas celui qui a toutes les réponses, mais celui qui sait faire jaillir celles de l’autre. Et contrairement aux idées reçues, ces compétences ne sont pas réservées aux RH ou aux psychologues du travail. Elles peuvent – et doivent – être cultivées par tout leader soucieux de faire grandir ses équipes.

Développer l’empathie : le socle de la relation de confiance

L’empathie est bien plus qu’un simple atout relationnel : elle est devenue une compétence stratégique pour les dirigeants. Longtemps reléguée à la sphère privée, elle fait désormais partie des soft skills les plus recherchées. Comme le rappellent Holt et Marques dans leur étude sur le leadership empathique (Springer, 2012), les collaborateurs attendent de leurs managers une attention sincère à leur bien-être, à leurs émotions et à leurs aspirations.

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Développer cette compétence demande un apprentissage actif. Il s’agit de passer d’une posture centrée sur l’action à une posture centrée sur l’écoute. Cela suppose :

  • de ne pas interrompre, même en cas de désaccord ;
  • de s’intéresser à ce que ressent la personne, au-delà de ce qu’elle dit ;
  • de poser des questions sincères sur son état d’esprit, sans tomber dans le formalisme.

En somme, l’empathie managériale ne s’improvise pas. Elle se travaille, se cultive, et surtout, se démontre par des gestes concrets du quotidien.

Encourager l’autonomie : laisser l’autre trouver ses propres solutions

L’un des basculements fondamentaux du coach réside dans l’abandon de la posture de « sauveur ». Le rôle n’est plus de dire quoi faire, mais d’accompagner la personne dans sa réflexion. Cela demande un vrai lâcher-prise, souvent contre-nature pour des managers formés à résoudre rapidement les problèmes.

Le coaching valorise l’individualisation. Ce qui marche pour l’un ne marchera pas forcément pour l’autre. En laissant chaque collaborateur adapter ses propres réponses à ses contraintes, ses préférences et son style, on favorise l’appropriation, la créativité et l’engagement.

La question n’est donc plus « quelle est la bonne solution ? », mais « quelle est ta solution dans ton contexte ? ». C’est ainsi que naît une culture de l’apprentissage actif et de la responsabilisation.

Maîtriser les outils du coach : écoute active, art du questionnement, fixation d’objectifs

Trois leviers sont au cœur de la posture de coach :

  1. L’écoute active : souvent négligée dans le tumulte opérationnel, elle consiste à accorder une attention totale, à laisser des silences productifs et à capter les signaux faibles. Les dirigeants doivent apprendre à ne pas interrompre, à ne pas projeter leurs propres solutions, mais à permettre à l’autre de structurer sa pensée. Offrir du temps pour s’exprimer, c’est souvent offrir une partie de la solution.
  2. Le questionnement utile : les bonnes questions ne sont pas directives. Elles ouvrent des perspectives, interrogent les croyances, explorent les options. On évitera les « pourquoi », trop accusateurs, au profit de « quoi » et « comment », plus constructifs. L’astuce ? Demander au collaborateur ce qu’il conseillerait à un tiers dans la même situation. Cette mise à distance facilite la prise de recul.

Exemples de questions puissantes :

  • « Qu’as-tu déjà essayé jusqu’ici ? »
  • « Que recommanderais-tu à un collègue dans la même situation ? »
  • « Qu’est-ce qui fonctionnerait à ton avis dans ce contexte précis ? »
  1. La fixation d’objectifs clairs et motivants
: un bon coach ne dicte pas les objectifs, il les co-construit. Il valorise les objectifs d’approche (ce qu’on veut faire) plutôt que d’évitement (ce qu’on veut éviter). Cette orientation vers l’action positive crée de l’engagement et évite la culpabilisation.

Ainsi, mieux vaut viser « intégrer davantage d’échanges informels dans l’équipe » que « éviter les conflits ». Ou encore « déléguer deux tâches d’ici la fin du mois » plutôt que « ne plus tout faire soi-même ».

Valoriser les forces plutôt que corriger les faiblesses

Le réflexe des managers reste souvent de chercher ce qui ne va pas, d’identifier les lacunes pour les combler. Mais cette approche, bien que louable, limite le potentiel de croissance. Une autre voie est possible : miser sur les forces. Encourager chacun à identifier ce qui le fait vibrer, ce dans quoi il excelle naturellement, et l’amener à en faire un levier de performance.

Il est prouvé que les collaborateurs qui mobilisent régulièrement leurs forces sont plus performants, plus engagés et moins sujets au burnout. Pour cela, il faut oser poser des questions différentes :

  • « Quand t’es-tu senti(e) vraiment efficace dernièrement ? »
  • « Quelles compétences te donnent de l’énergie ? »
  • « Dans quels contextes te sens-tu le plus utile à l’équipe ? »

La mission du coach est d’aider à identifier ces éléments, à les nommer, et à créer des conditions où ils peuvent s’exprimer.

Un investissement organisationnel nécessaire et rentable

Penser que les dirigeants sauront adopter spontanément ces compétences est une illusion. Les organisations doivent jouer leur rôle : proposer des parcours de formation au coaching, instaurer une culture de feedback entre pairs, et offrir des ressources concrètes via les RH.

Mettre en place une politique de leadership fondée sur le coaching, ce n’est pas « faire du soft » : c’est structurer un management de la performance durable. Cela nécessite :

  • un engagement clair de la direction générale ;
  • un soutien RH fort (coachs internes, superviseurs, référents déontologiques) ;
  • une intégration de cette posture dans les processus d’évaluation, de gestion des talents et de mobilité interne.

Adopter une posture de coach n’est pas une tendance managériale passagère. C’est une compétence clé dans un monde du travail où l’autonomie, la créativité et l’engagement sont devenus les véritables moteurs de la performance collective. Ce changement commence par une prise de conscience individuelle… et se déploie à travers une stratégie RH éclairée. Pour les entreprises marocaines et africaines, il y a là un levier concret de transformation des pratiques managériales. Moins de contrôle, plus de croissance. Moins d’ordres, plus d’intelligence collective.

Tags: AutonomieÉcoute activeempathieleadership bienveillantmanagement transformationnel.micro-managementperformance durableposture de coachquestionnementResponsabilisation
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