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Comme les deux faces d’une même pièce, épanouissement et performance sont indissociables, voire indispensables l’une à l’autre dans la vie professionnelle d’un collaborateur au sein d’une entreprise. Cet épanouissement n’est point, comme le pensent beaucoup, exclusivement d’ordre financier et n’est pas forcément abouti en octroyant un salaire respectable à ses collaborateurs, mais il peut revêtir un aspect psychologique, social ou académique.
Au sein de quelconque entreprise, l’humain est un élément central, voire la pierre angulaire de son succès. De nos jours, et dans un monde professionnel en permanente évolution qui nécessite des changements immédiats et continus en matière de gestion, de processus ou de connaissances, les entreprises ont plus d’intérêt que jamais d’innover et d’investir dans les compétences et capacités des collaborateurs. Cela dit, et si quelques sociétés ont bien compris comment relever ce défi et se sont lancées dans des processus de formation au profit de leurs salariés, d’autres, à défaut d’une vision long-terme, n’osent pas franchir le pas, notamment celui des formations exécutives. Aidons-les à changer d’avis à travers ces 6 bonnes raisons pour inciter les collaborateurs dans l’obtention de leur Executive Masters/Diplômes :
Un leadership efficace, un management pertinent
Le chemin vers le succès passe par des sacrifices à faire et des risques à prendre. Donc oui, un collaborateur qui se lance dans un cursus de formation exécutive serait probablement absent pendant quelques heures de travail –même si la plupart des écoles s’adaptent à leur public de managers en organisant des formations à temps partiel les week-ends-, revendiquerait une augmentation une fois son diplôme obtenu. Toutefois, c’est un pari préalablement gagné et un investissement sans faille. Une Executive formation, entre autres, offrant aux participants toutes les connaissances nécessaires en matière de management, développe les qualités de leadership des apprenants, donc une fois la formation achevée, c’est l’entreprise qui bénéficiera de ses meilleurs managers avec une excellente vision globale de l’entreprise et de meilleures techniques managériales.
Retenir ses talents, en séduire d’autres
Semblablement aux entreprises qui choisissent méticuleusement leurs collaborateurs, ces derniers, notamment les plus compétents, jouissent du privilège de choisir la structure où ils vont mettre en œuvre leur savoir-faire. Ce choix est indubitablement basé, entre autres, sur les opportunités de formation et d’évolution professionnelle qui leur seront offertes. Ainsi, une entreprise qui favorise de telles possibilités aura davantage de chances aussi bien pour susciter l’intérêt des meilleurs talents à la rejoindre que pour créer une certaine loyauté chez les collaborateurs déjà en postes. Encore plus, l’entreprise a tout le droit de négocier une certaine durée pendant laquelle le collaborateur, après avoir obtenu son diplôme, s’engage à ne pas la quitter, et ce en en échange de la participation financière de l’entreprise dans le cursus de formation.
Cas épineux hier, à la portée aujourd’hui
Parmi les axes fondamentaux de tout cursus de formation exécutive, figurent les études de cas. Ce qui signifie que tout participant, au long de ses 4 semestres de formation, sera amené à faire des propositions, à résoudre des problèmes et à innover des solutions relevant des thématiques directement liées à l’activité de sa propre entreprise, bien sûr avec l’aide des autres étudiants et des professeurs. N’étant pas exhaustive évidemment, cette activité permet d’acquérir des compétences transversales en matière de gestion des cas délicats. Cela dit, le collaborateur reviendrait à son entreprise avec une prédisposition à faire face à toutes sortes de difficultés et à même y trouver l’issue.
Aller vers l’international
Que ce soit au niveau du programme, de l’équipe pédagogique ou même de la diplômation, la touche internationale est omniprésente dans le cursus des formations exécutives. La quasi-totalité des écoles, comme l’UM6P, font appel à des intervenants étrangers, d’une manière occasionnelle ou permanente, proposent des formations en dehors du pays où est localisée l’école, dispensent les cours en deux, voire en trois langues, et inculquent des valeurs universelles de management et de business. Cela fera l’objet pour l’entreprise d’une passerelle vers l’international, et ce en découvrant de nouvelles pratiques, en parlant d’autres langues et en tissant de nouveaux liens avec d’autres personnes d’autres pays. Bonne affaire, n’est-ce pas ?
La polyvalence, c’est assuré !
La double compétence, ou la polyvalence en général est, à l’heure actuelle, très recherchée. Une formation exécutive est également accessible pour les personnes issues de filières techniques éloignées de la gestion et du management en entreprise telles que l’ingénierie, la médecine, le droit, etc. Ces collaborateurs parviennent ainsi à acquérir de nouvelles compétences leur permettant de progresser dans l’entreprise, d’occuper des postes jusqu’alors inaccessibles, et surtout d’être polyvalents.
Résistance quant à la charge de travail
Suivre un cursus de formation exécutive, qu’il s’agisse d’un master ou d’une formation certifiante, incite le participant à s’y impliquer corps et âme pendant un certain temps vu l’importante charge de travail. Cette intensité développera chez le collaborateur une endurance qui lui permettrait de s’adapter aux moments difficiles de l’entreprise où il faudrait doubler d’effort pour s’en sortir.