Selon Nick Lillios, PDG de Nowsta, une plateforme de gestion des effectifs, 2022 est l’année du travail flexible. En 2020, de nombreux travailleurs dans le monde ont été contraints à des modèles de travail hybrides et à distance après le début de la pandémie de coronavirus. Et selon un récent rapport d’Apollo Technical, une agence d’informatique et d’ingénierie, 72 % des travailleurs préfèrent désormais un modèle de travail flexible plutôt que de retourner au bureau à temps plein.
Le travail flexible peut favoriser l’autonomie dans des domaines tels que l’établissement d’un horaire de travail ou le fait de devoir se présenter en personne pour un quart de travail. De plus, il permet aux gestionnaires de personnaliser les initiatives et les politiques en fonction des besoins individuels des employés.
Cette nouvelle vague de flexibilité sur le lieu de travail inaugure un sentiment d’autonomisation des employés et est essentielle pour un moral et une productivité positifs au travail. Selon le rapport 2021 sur l’état du travail à distance d’Owl Labs, 90 % des employés ont déclaré qu’ils étaient aussi productifs ou plus travaillant à distance qu’en personne. De même, 84 % des travailleurs ont déclaré que continuer à travailler à domicile après la pandémie les rendrait plus heureux.
Deux notions importantes surgissent de cette nouvelle configuration : l’autonomie et la flexibilité. Que veulent-elles signifier ? Comment sont-elles liées ? Pourquoi est-il important pour un employeur de nuancer entre les deux et comment trouver un juste équilibre, sans pour autant porter préjudice à l’intérêt de l’entreprise ? Réponses dans ce dossier.